Messager 38 – 2011/2012
Vers Tel Aviv 3: Jacques-Alain Miller – « Lire un symptôme »
Jacques-Alain Miller – « Lire un symptôme » – texte intégralDans son intervention au Congrès de la NLS à Londres, le 3 avril 2011, Jacques-Alain Miller a proposé et présenté le titre de notre prochain Congrès : « Lire un symptôme ». Ce sont donc des extraits de ce texte que j’ai sélectionnés il y a quelques semaines pour composer l’essentiel de ce qu’on appelle classiquement un « argument » (NLS-Messager n° 24).
Aujourd’hui NLS-Messager diffuse le texte de J.-A. Miller dans son intégralité, en français et en anglais. Il constitue en effet la référence majeure commune de notre travail et oriente la préparation du Congrès de Tel Aviv en juin 2012. Un bon nombre d’activités (séminaires, cartels, « nouages »…) le prendront comme base dès septembre – voire ont déjà commencé à le faire.
Une version papier du texte intégral est disponible : il a été repris dans le n° 26 de Mental qui vient de paraître ; il sera publié en anglais en octobre dans Hurly Burly.
Chacun peut ainsi se mettre à l’étudier pendant l’été. Bon travail !
Anne Lysy
ERRATUMUne erreur de transcription avait échappé à notre attention jusqu’ici. Il s’agit d’une phrase importante, à la fin du 2e paragraphe ; nous rétablissons ici la version correcte : « Dans le champ du langage sans doute la psychanalyse prend-elle son départ de la fonction de la parole mais elle la réfère à l’écriture. Il y a un écart entre parler et écrire, speaking and writing. C’est dans cet écart que la psychanalyse opère, c’est cette différence que la psychanalyse exploite. »
Aujourd’hui NLS-Messager diffuse le texte de J.-A. Miller dans son intégralité, en français et en anglais. Il constitue en effet la référence majeure commune de notre travail et oriente la préparation du Congrès de Tel Aviv en juin 2012. Un bon nombre d’activités (séminaires, cartels, « nouages »…) le prendront comme base dès septembre – voire ont déjà commencé à le faire.
Une version papier du texte intégral est disponible : il a été repris dans le n° 26 de Mental qui vient de paraître ; il sera publié en anglais en octobre dans Hurly Burly.
Chacun peut ainsi se mettre à l’étudier pendant l’été. Bon travail !
Anne Lysy
ERRATUMUne erreur de transcription avait échappé à notre attention jusqu’ici. Il s’agit d’une phrase importante, à la fin du 2e paragraphe ; nous rétablissons ici la version correcte : « Dans le champ du langage sans doute la psychanalyse prend-elle son départ de la fonction de la parole mais elle la réfère à l’écriture. Il y a un écart entre parler et écrire, speaking and writing. C’est dans cet écart que la psychanalyse opère, c’est cette différence que la psychanalyse exploite. »