|
Numéro 15 – Avril 2016
|
|
|
Ça se chante à l’occasion !
« Être mariée à un pervers narcissique, être harcelé par son patron, être déprimé. Des plaintes s’énoncent, des signifiants circulent dans les discours… Parfois même, avant d’aller voir son psy, on a lu un livre qui confirme le diagnostic, on a validé son test sur le web, échangé sur des forums. Apparaissent ainsi des épidémies de symptômes : l’addiction, l’anorexie-boulimie, l’hyperactivité, preuves que le symptôme entretient un rapport de proximité avec le discours courant. Parfois, il faudra du temps pour remettre en circulation ce qui s’était cristallisé dans le symptôme commun et le particulariser dans le transfert… »
|
|
|
|
|
|
Ac d’Angers
|
|
Les conditions de la jouissance
Alice Delarue
« Qu’est-ce que le corps en psychanalyse ? Pour mettre au travail cette question, vous avez choisi le texte « Biologie lacanienne et événement de corps », issu des dernières leçons du cours que Jacques-Alain Miller a donné en 1998-1999, sous le titre « L’expérience du réel dans la cure analytique ». Un cours qui a, nous dit-il, commencé avec le réel et se boucle avec la vie… » Lire la suite …
|
|
|
|
Ac d’Angers
|
Évènement de corps et avènement de signification
Dalila Arpin
« Dans la langue française, un événement est un fait auquel aboutit une situation, ce qui arrive à quelqu’un et qui a une importance pour lui, un fait historique marquant. Un avènement est la promotion à un rôle important, l’arrivée, l’accession, le couronnement, le sacre, la venue, l’arrivage, l’apparition, la livraison… » Lire la suite …
|
|
|
|
Ac d’Angers
|
Sur les apologues de « Biologie lacanienne… »
Anne-Marie Le Mercier
« Jacques-Alain Miller veut nous faire effectuer un parcours permettant de saisir comment on peut appréhender le symptôme comme événement de corps. Et sa thèse, c’est que le symptôme comme événement de corps requiert trois conditions inhérentes à l’abord épistémique de la jouissance… » Lire la suite …
|
|
|
|
Ac d’Angers
|
La vie comme condition de la jouissance
Pierre Malengreau
« Ce qui intéresse Jacques-Alain Miller, c’est dit-il, ‘la vie […] dans sa connexion avec la jouissance’ pour autant que cette jouissance mérite d’être qualifiée de réelle. Le mot réel est important. Il s’agit du réel au sens de la psychanalyse. Ce n’est pas le réel de la métaphysique, ni celui des mathématiques. C’est un réel qui ne se donne pas d’emblée… » Lire la suite …
|
|
|
|
Ac d’Angers
|
Le symptôme comme événement de corps
Cécile Wojnarowski
« Avec la notion de caractère, J.-A. Miller vise à démontrer la parenté de la théorie du caractère chez Reich et de l’imaginaire de Lacan. À l’institut psychanalytique de Vienne, Reich enseignait l’analyse du caractère, une méthode d’observation plutôt que d’écoute qui posait la question, importante à l’époque, du transfert négatif… » Lire la suite …
|
|
|
|
|
|
S.K. BEAU
|
|
|
Le nom de l’oiseau ne dit rien de son chant
Joseph Attié
« Il faut lire ce livre de Françoise Monnier, enchanteur comme l’oiseau dont il porte le nom et qui n’a pas de nom… Une phrase, on n’a pas besoin de plus d’une phrase, il suffit qu’elle devienne une parole… » Lire la suite …
|
|
Sans pré-juger !
|
|
L’implant et la course aux réparations
Jacqueline Dhéret
« L’apparition de l’implant et des prothèses a modifié la distinction classique que le droit opérait entre la personne, sujet de droit, et le corps qui en est l’enveloppe. Pour le droit, (…) je suis une personne parce que j’ai un patrimoine qui renferme mes droits… » Lire la suite …
|
|
|
Myriam Perrin interviewe Catherine Lacaze-Paule…
Elle a choisi pour nous un extrait du Séminaire L’éthique de la psychanalyse : « La douleur [est à prendre] comme un champ qui, dans l’ordre de l’existence, s’ouvre […] à la limite où il n’y a pas possibilité pour l’être de se mouvoir ».
|
|
|
|
|
|
|