PIPOL NEWS FLASH 21
Quatre petits flashs du dimanche
1. Mais qui diable a dit qu’il n’y a plus de place pour s’inscrire à la Soirée du Futur ? Il y a déjà 415 inscrits à la soirée. C’est vrai. Nous ne serons donc pas tous seuls. Mais il reste encore 85 places. Le traiteur exige le chiffre définitif des participants pour le jeudi 4 juillet. On peut donc encore s’inscrire jusqu’à cette date, à midi. Au-delà, s’il reste encore des places, nous achèterons quelques repas supplémentaires que nous vendrons le samedi après-midi du Congrès à l’Accueil.
2. Ils sont fous, ces belges. Vous avez lu ? Elles se sont précipitées, cinq associations belges, l’une après l’autre, pour payer une partie des frais de l’accueil de vendredi soir. Accueil qu’il faut désormais baptiser (oui, pourquoi pas « baptiser »… ?) « Dossier + Champagne ». « Je donne autant », disait l’une. « Je donne un peu plus », disait l’autre. « J’augmente ma mise », a répondu la troisième. « S’il te plaît, dit inquiète la quatrième, puis-je encore contribuer à l’accueil ? » « J’ai été la première à dire que je voulais payer », se targuait la cinquième. Je vous le dis, ils sont fous ces belges.
3. A ce jour, 1302 congressistes sont inscrits au Congrès PIPOL 6. La salle Gold des plénières peut accueillir 1200 personnes. Pour la transmission audiovisuelle, nous avons finalement choisi la Silver Hall. Très belle salle, agréable, bien décorée, des fauteuils très confortables. Cette salle a une capacité de 300 personnes. Du coup, nous pouvons accueillir encore 198 congressistes. Il n’y a pas de soucis.
4. « Nos seins sont politiques ». C’est le titre de La Libre Belgique, hier, en première page. Une interview de Margo Fruitier, 23 ans, leader des FEMEN belges. Elle dit entre autres : « FEMEN entend s’attaquer à un système global de pensée, qui est un système masculin et patriarcal où les femmes sont plus souvent en précarité que les hommes. Alors, s’attaquer au patriarcal, cela peut faire sourire, mais je pense que l’on dépose réellement quelque chose dans l’esprit des gens. » En effet, il y a là sans doute un réel, nommé par Jacques-Alain Miller dans la Quatrième de couverture du Séminaire VI : « Nous sommes en phase de sortie de l’âge du père. » Si la voix des FEMEN ne fait que s’entendre de mieux en mieux, c’est que son action touche à ce réel.
Gil Caroz
30/06/2013