Nous vous adressons un message d’ElectroCien JIE n°4 dans lequel Judith Miller présente le Blog de la Journée de l’Institut de l’enfant. A la suite, vous trouverez la bibliographie generale que propose l’equipe du Cien.
UNIVERSITÉ POPULAIRE JACQUES-LACANJOURNÉE D’ÉTUDE de l’INSTITUT DE L’ENFANTorganisée avec le CEREDA, le CIEN et le RI3 PEURS D’ENFANTS Blog et bibliographes La préparation de la prochaine Journée d’étude de l’Institut de l’Enfant nous demande de mettre en place de nouvelles façons de travailler entre les trois instances du RI3, du Cereda et du Cien, de nouveaux « outils de travail » sont donc créés.- La préparation des bibliographies par les « bibliographes » de chaque instance, aidés par ceux dont ils souhaitent s’entourer ;- trois listes de diffusion « spéciales », Diagonal (Alain Cochard), Electro-Cien (Agnès Vigué-Camus) et Le Feuilleton du RI3 (Hervé Damase) ;- le blog et son bulletin de préparation de la Journée-, nommé « Le zappeur », modéré par les soins de Daniel Roy , avec ses trois rubriques :- Orientations, – Références, – News. Les bibliographes font parvenir au blog les citations et références qu’ils auront sélectionnées parmi celles qu’ils adressent à leur liste de diffusion. La rubrique News du blog publiera les « fragments » provenant de contributions publiées les listes ou qui lui auront été directement adressées . Il est prévu que les responsables des listes s’abonnent aux deux autres listes afin qu‘ils y choisissent et en diffusent les apports préparatoires à la journée. Ainsi Le feuilleton, Diagonal et Electro-Cien fonctionneront non de façon étanche mais en tant que vases communiquants : chaque instance participant à la JIE se doit de savoir sur quoi et comment travaillent les deux autres. Tous les participants de ces instances sont invités, bien sûr : – à diffuser des travaux du plus grand nombre ; – à faire vivre le blog. La commission d’initiative reste à la disposition de chacun et attend avec impatience le 15 décembre pour pouvoir lire les arguments proposés pour intervenir le 19 mars, comme Agnès Giraudel y a appelé dans l’EC-JIE n° 2. Elle a contacté de plus les lab. dont le thème de recherche croise immédiatement celui de la Journée Peurs d’enfants. Première moisson des bibliographes du Cien Voici une première moisson des bibliographes du Cien, à la date du 25 novembre pour laquelle ils étaient chargés d’une première recension des publications de leurs instances de travail et le ou les champs qui la concernent plus directement. Le Cien, sur la proposition d’Alexandre Stevens (de la Commissions d’initiative) se voit logiquement en charge d’une bibliographie qui devient générale. Les bibliographes du Cien sont donc plus nombreux que ceux des deux autres instances. Marlène Belilos, Philippe Cousty, Nathalie Georges, Philippe Lemercier Jean-Luc Mahé, Michèle Rivoire et Agnès Vigué-Camus comptent bien que leur recension sélective (elle ne relève pas d’un clic sur Google, mais d’une élaboration progressive et d’une lecture attentive) soit enrichie des trouvailles de chacun dans les semaines qui viennent. J’ai classé les références selon les critères suivants et remercie les bibliographes au nom de tous les lecteurs qui trouveront de quoi aiguiser leurs désirs dans cette première moisson.1 – Ce qui est paru dans Terre du cien.2 – Ce qui est paru dans Électro- cien.3 – Ce qui est paru dans les publications régionales, sur papier ou électroniques, du Cien4 – Les références assurant l’inter-disciplinarité de la Journée de l’Institut de l’enfant. 5 – Les livres dont se servent des collègues quand ils ont à faire à des « peurs d’enfants », en dehors des œuvres de Freud et Lacan. Judith Miller 1 Paru dans Terre du CienRécolte de Jean-Muc Mahé Ana Lidia Sanriago et altri, « Éducation, psychanalyse et santé mentale : une nouvelle proposition de diagnostic des problèmes scolaires », no 15, mars 2005, p. 21-23. A. De Santis, « La tête de ma mère », no 20, janvier 2007, p. 19-21. J. Goutagny, « Mourir, en somme…Enzo, du fil des songes à celui du pinceau », no 27, octobre 2009, p. 41-42. Claire Piette et Sonia Le Hir, « Bowling for Columbine ou la logique de la peur », no 11, juin 2003, p. 30-31. F. Manchetti, « La Clis, une classe qu’on apprend à lire… », no 12, octobre 2003, p. 13-14. Véronique Michel et P.Paulard, « Odilon : rentrer-sortir », no 20, janvier 2007, p. 21-22. Dominique Rousseau ., « Ménager une place à ce qui n’a pas de place à l’école », no 26, mars 2009, p. 22-25. Daniel Roy, Vessela Banova, «Préférences et initiatives », Lab. franco-bulgare « Grandir sans parents », Sofia, Bulgarie n° hors série – juillet 2002. 2 Paru dans Électro-Cien Récolte d’Agnès Vigué-Camus Philippe Cousty, « Sur Éloge de la transmission. Le maître et l’élève, de G. Steiner et C. Ladjali : note de lecture », n° 56 – Mars Avril 2008. Philippe Cousty, « Effets de stage », Laboratoire « Usages de l’école et surprises », n° 65 – Avril 2009. Françoise Labridy, « Sur le livre Classe de B. Keller mis en scène au Théâtre de la Manufacture à Nancy du 4 au 26 octobre 2007 », n°53 – Novembre-Décembre 2007.Michèle Rivoire, « Itinéraires d’adolescences sans espoir », n° 64 – Mars 2009.Sandra Ruchard , « L’exception ne confirme pas toujours la règle. », Laboratoire « Maître, passe-désir ». n°76, Septembre 2010. 3 Paru dans les publications régionales, sur papier ou électroniques, du CienRécolte de Philippe Cousty A- Ouvrages collectifs : L’orientation symptôme, 2001. Comment reconnaitre et faire droit à la causalité psychique, en en tirant les conséquences ? Travaux du lab. »L’orientation-symptôme”.Grandir sans parents Brochures n°1, 2, et 3 travaux du laboratoire franco-bulgare de 1998 -2001. Les marques de la différence, lab.franco-bulgare « Grandir sans parents », publié avec le concours de l’institut français de Sofia, Sofia, 2006. Ce qu’enseignent les enfants et leurs « soignants » quand ils grandissent sans parents. L’enfant et ses symptômes, Sofia, 2008 Apprendre la langue de l’enfant, Sofia 2009. Le lab. franco-bulgare apprend comment des enfants grandissent sans parents, comment permettre à un sujet de savoir qu’il vaut quelque chose pour quelqu’un et l’accepte, comment savoir ce qui vaut pour lui à partir de la fonction de la famille, de celles d’un père, d’une mère, de ce qu’est grandir, se séparer, avoir un corps. Que faire des angoisses, des peurs ? comment situer à sa juste place, celle d’un acte à venir, en prenant en compte la faille qui divise l’être humain, et reconnaissant l’inéducable, pour le modifier. Les chemins de l’adolescence entre Urbanisme et Urbanité, Éditions Le Bois du Dauphin 2007,travaux de la première journée du cien à Saintes. les chemins singuliers de l’adolescence vers l’âge adulte à travers les voies de la cité. Comment se faire entendre à l‘école ?, Éditions du Centre Régional de Documentation Pédagogique Aquitaine 2008. Le lab. bordelais, « Le Pari de la conversation », et le lab. « Usages de l’école et surprises » d’une position de non-savoir, permettent d’opérer un bougé où l’institution peut accueillir le « hors norme. Itinéraires d’adolescence, Cahier N°1 novembre 2009, Lyon. Rendez-vous du lab. interlaboratoires ; faire cas de l’intraitable en réponse au concept ségrégatif d’ « incasable » forgé par la santé publique et ses solutions pas items, inventaires, chiffres, et protocoles. Répondre à ce qui paraît sans solution généralisable, par le souci de « partager une persévérance », dans la rencontre avec chaque adolescent. S’enseigner du désordre des adolescents, Cahier N°2 novembre 2010, Lyon. Rendez-vous du lab . inter-laboratoires sur des situations subjectives de déprises familiales et scolaires, les effets des modifications juridiques et du discours moderne : contrat, projet, sanctions… S’enseigner de ce qui fait acte pour un enfant et un adolescent. B- Articles Céline Balisky, « J’essaie de mettre en œuvre une rencontre… », Serendipity, Bulletin électronique des lab. « Usages de l’école et surprises » et « le Pari de la conversation » n°7, juillet 2009. Marie-Claire Berthelomet, « Laisser faire sa classe », Serendipity, n°3, Bordeaux, septembre 2006. Marianne Bourineau, « Passe le message à ton voisin », Serendipity, n°2, juin 2006.Marianne Bourineau, « Du tiers-temps au temps d’un ‘presque’, du lieu vide au temps de la langue », Serendipity, n°6, novembre 2009. Marianne Bourineau, « Queneau, Zazie, Napoléon et les adolescents d’aujourd’hui », Serendipity, n°5, mars 2010. Philippe Lacadée, « Tracer une voie nouvelle dans l’impossible d’éduquer », Serendipity, n°9, décembre 2009. Philippe Lacadée, « Les livres pour enfants et le goût des mots », Serendipity, n°8 mars 2010. Ch. Lantrès, « Un lieu de vie du corps, de l’esprit et de la voix », Serendipity, n°1 mars 2010. 4 Les références assurant l’inter-disciplinarité de la Journée de l’Institut de l’enfant Réminiscences de fond (Nathalie Georges) A- Quelques films Little Fugitive (Le petit fugitif),1953. Disponible en dvd, 80 mn, de Morris Engel, Ruth Orkin et Raymond Abrashkin. Un frère aîné se voit confier son cadet quelques jours. Pour se débarrasser de ce poids, il met en scène sa propre mort, et la verse au crédit du petit. Terrorisé celui-ci s’enfuit, et se met à vivre sa vie. La peur change de camp. La nuit du chasseur de Charles Laughton, 1955. Fanny et Alexandre de Ingmar Bergmann, 1982. J’aperçois une secrète parenté entre les scénarios de ces deux films : frère et sœur sont aux prises avec le désir de leur mère égarée en tant que femme, d’où la terreur, qui fait alors partie intégrante de la vie enfantine ordinaire. Les quatre cents coups de François Truffaut,1959. Les enfants de Marguerite Duras, 1984], Ils font peur. Un monde parfait de Clint Eastwood,1993 Le P’tit curieux de Jean Marbeuf, 2003. Bascule : les enfants n’ont pas peur, ils font peur…La route [2009] de John Hillcoat, 2009 Retour d’un père qui rassure, mais ne rassure-t-il pas son fils parce qu’il est lui ? filioque B- Quelques livres Oliver Twist de Charles Dickens, 1839. Terreur, injustice, roman d’apprentissage où le bien triomphe… Poil de Carotte de Jules Renard, 1894. L’enfant a peur, il sait qu’il est lâche et qu’il jouit de sa terreur… Le tour d’écrou de Henry James,1898. Ils font peur, ils sont la peur même… Capitaines des sables de Jorge Amado, 1984 Arrachez les bourgeons, tirez sur les enfants, de Kenzaburô Ôé,1958. Ils sont au-delà de toute peur, solidaires du fait d’un primordial rejet, amalgamés en société, et la peur qu’ils ignorent revient décuplée à ceux qui les persécutent. Réminiscences de fond (Marlène Belilos ) Julien Green, Jeunes années, autobiographie 2, un jeune homme en proie au péché. Hervé Bazin, Vipère au poing, récit de la haine d’un petit garçon nourrie de la peur de sa mere. Marcel Proust, Du côté de chez Swann, les pages inoubliables de description de la peur du petit garçon en proie à ses fantômes. Alexander S. Neill, Libres enfants de Summerhill, la pédagogie du désir et du langageRichard Ferber, Protégez le sommeil de votre enfant, un best-seller sur comment éloigner les peurs de l’enfant. Histoire et sociologie (moisson et indications de Jacqueline Dhéret) A- Les incontournables- Michel Foucault, Surveiller et punir, Gallimard, 1975- Alain Ehrenberg, L’individu incertain, Calmann-Levy, 1995- Jean Delumeau, Le péché et la peur, La culpabilisation en occident, XIIIème-XVIII ème siècles, 1984 B- Plus récemment et qui ne manquent pas d’intérêt Gérard Neyrand, sociologue : Faut-il avoir peur de nos enfants ? Politiques sécuritaires et enfance, La Découverte, 2006 Peter Gumbel, journaliste : On achève bien les écoliers, Grasset, 2004Christian Laval, sociologue très pertinent : Un nouvel ordre éducatif mondial, Editions Syllepse, 2002 Récolte de Michèle Rivoire Alfred Binet, « La peur chez les enfants », in L’année psychologique, 1895, vol.2, pp.223-254. Texte historique de l’inventeur de la première échelle de mesure de l’intelligence (échelle métrique de Binet-Simon), texte savoureux quand on songe qu’il est contemporain de la publication par Freud de ses Études sur l’hystérie. Binet analyse les résultats d’une enquête qu’il a conduite auprès d’instituteurs avec un souci d’observation rigoureuse. Il termine sur une série de prescriptions visant à prévenir ou guérir les peurs d’enfants, comme celle-ci, marquées au coin du positivisme le plus gratiné : « On veillera aussi à ce que les enfants ne soient pas terrifiés dans le jeune âge par des contes fantastiques ou superstitieux dont la tradition n’est malheureusement pas encore perdue ; on fera des prescriptions sévères aux domestiques, aux amis et aux grands-parents. On ne conduira pas l’enfant aux veillées. Non seulement, on devra proscrire le récit circonstancié, mais encore la menace d’un danger imaginaire (le loup, le commissaire, etc.), menace dont on use si souvent pour obtenir l’obéissance et la paix. En un mot, on cherchera à supprimer toutes les peurs par suggestion. Cela ne suffit pas encore ; on prendra des mesures pour que l’enfant n’ait jamais l’occasion de s’effrayer, à tort ou à raison. On défendra ces jeux qui consistent à se cacher derrière une porte pour se montrer brusquement et surprendre l’enfant qui passe ; petites taquineries qu’à l’école on exerce le plus souvent contre les enfants d’une poltronnerie connue. De même, on évitera d’envoyer l’enfant par des chemins où il peut rencontrer des ivrognes, ou dans une cave où il y a des rats. Pendant tout le cours du traitement, on évitera la peur, comme on évite dans une maladie nerveuse toutes les excitations pouvant ramener une crise. » Serge Boimare, L’enfant et la peur d’apprendre, Dunod, 2001. Il raconte son expérience dans l’enseignement spécialisé. En contrepoint du texte de Binet, on pourra lire son hommage aux frères Grimm : « Je serais sûrement tombé malade ou j’aurais changé de métier si je n’avais trouvé dans la classe, un livre de contes laissé sur une étagère par mon prédécesseur. Je dois donc ma survie dans le monde de la pédagogie aux frères Grimm et je leur en suis reconnaissant. En effet, un jour que j’étais au comble du désespoir, j’ai commencé à lire leur livre de contes aux trois ou quatre enfants qui étaient encore avec moi et, comme par enchantement, j’ai vu revenir mes élèves les uns après les autres, pour en écouter les histoires. J’ai vu, contre toute attente, ces grands pré-adolescents dont la violence éclatait à chaque instant se rouler en boule sur leur siège et sucer leur pouce, pour écouter des histoires qui me semblaient relever du niveau de la grande section des classes maternelles. […] Tous mes repères de pédagogue en étaient bouleversés. J’avais en face de moi des enfants qui me semblaient avoir surtout besoin de concret et de rationnel, je leur racontais des sornettes, je les confrontais à la magie, au bizarre. A toutes leurs inquiétudes, qui étaient déjà très vives et souvent exprimées publiquement, je rajoutais des histoires de dévoration, d’abandon, de mort. Pour comble, ils avaient rebaptisé notre livre: « Contes de crimes ». » Dominique Sampiero, Temps captif, Flammarion. Il est instituteur et le scénariste du film de Bertrand Tavernier, Ça commence aujourd’hui : « Car l’enfance n’est pas haute, jamais, au contraire, toute petite blottie au ras des herbes, avec les hérissons, les sauterelles, le poil à gratter, les boules blanches d’aubépine qui claquent sous les pieds, les lombrics coupés en quatre, la limace orange, le scarabée noir sur lequel on crache et qui saigne, les ricochets, les tiges poule ou coq ? On pisse dans les fourmilières, on taille les arcs et les flèches pour tirer plus loin. L’enfance est accroupie et se cache, par malice, pour faire peur à ceux qui nous cherchent. Pour voir s’il nous aiment… » Gilles Barbedette, Une saison en enfance, Hatier (Haute enfance), 1991. Annie Ernaux, La place, 1993. Brigitte Giraud, J’apprends, Stock, 2005. Chapitre 2. Marguerite Duras, La pluie d’été, P.O.L., 1990. Il y est question de la peur qui circule, celles de la famille, les uns pour les autres, la difficulté à se séparer .« L’instituteur : Nous nous trouvons donc devant un enfant qui ne veut apprendre que ce qu’il sait.Le père : Voilà.La mère : Non, il n’a jamais dit ça. Il, veut bien apprendre, tout, mais ce qu’il ne sait pas, non il ne veut pas l’apprendre […] » Pour finir, un joyau peu connu de Claude Lévi-Strauss, Le Père Noël supplicié, Sables, Pin-Balma, 1994, 51 pages. Initialement publié dans Les Temps Modernes, en 1952, « Le Père Noël supplicié » est une brève étude inspirée à Claude Levi Strauss par un fait divers : le 24 décembre 1951, on avait brûlé publiquement un mannequin du Père Noël sur le parvis de la cathédrale de Dijon, en présence de centaines d’enfants: exécution d’un usurpateur accusé de paganiser la fête de Noël. Pas si simple, dit C L-S, qui voit dans l’autodafé de Dijon une réactualisation de rite païen. Éclipsant le dieu chrétien, le pantin « supplicié » retrouve là les caractères d’un héros archaïque, représentant ce que nous appellerions un Autre à la fois féroce et jouisseur. Il met en valeur des rites qui mettent en scène une transaction entre générations, où les enfants sont « une incarnation traditionnelle des morts ». 5 Des publications qui peuvent servir à qui a à faire à des « peurs d’enfants », en dehors des œuvres de Freud et Lacan. (Philippe Lemercier). Françoise Anquetil, « Sois sage ! », Désarrois et angoisses », Letterina, Bulletin de l’Association Cause freudienne Normandie, n°16 mai 1997, p 43. Anny Cordié, « Inhibition et angoisse », dans « Les cancres n’existent pas, psychanalyse d’enfants en échec scolaire », Ed. Seuil, 1993, p 213. Gwénola Druel-Salmane, « Relation d’objet et construction subjective : rectification et réélaborations par Jacques Lacan – L’objet phobique entre la mère, l’enfant et le phallus », « Les fondamentaux de la psychanalyse lacanienne, repères épistémologiques, conceptuels et cliniques », Presses Universitaires de Rennes, Rennes 2010, p 82. Nathalie Georges, « Alice entre la folie et le semblant », Les semblants et le réel, La Cause freudienne, n° 47 mars 2001, p 105. Elisabeth Léturgie, « Angoisse et symptôme », dans Désarrois et angoisses, Letterina, Bulletin de l’Association Cause freudienne Normandie, n°16 mai 1997, p 47.
Toutes les informations concernant le RI3 sont sur le sitewww.ri3.be
> pour se désinscrire de la liste, envoyer un message sans objet à [[email protected]] > pour s’inscrire, adresser un message vierge et sans objet depuis sa boite à [[email protected]]