« Sabina, mon amour. »
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JOURNAL DES JOURNÉES N° 37 le dimanche 11 octobre 2009, édition de 9h 17
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Editorial, par Jacques-Alain Miller Par quelle initiative, ayant valeur de « signe d’amour », l’Ecole est-elle, à mon sens, tenue de répondre à la confiance qui lui est faite ? Par l’institution d’une « session de rattrapage » où les collègues dont le texte n’aurait pas été retenu pour les Journées des 7 et 8 novembre, tenteraient à nouveau leur chance. Je propose, je demande au nouveau Conseil et au nouveau Directoire qui seront issus de l’élection du 7 novembre prochain, de me confier l’organisation de deux « « Journées extraordinaires » de l’Ecole, qui permettraient à la fois de recueillir les effets d’après-coup des Journées de Novembre, et de les capitonner. Pour m’assurer que c’était faisable, j’ai choisi une date, les 10 et 11 juillet prochains, et lancé deux enquêtes, l’une à Bruxelles, l’autre à Rennes, confiée, la première, à Gil Caroz, la seconde à Sophie Marret-Maleval, qui a mobilisé Laurent Ottavi. Vendredi dernier, Sophie m’a adressé un mail, où elle écrit notamment : « Nous avançons sur le projet des Journées à Rennes. Nous sommes en train de faire une estimation du coût, et de vérifier qu’il n’y a pas d’autres manifestations d’envergure à Rennes à cette date pour le parc hôtelier et la restauration. A priori, c’est bon, nous aurons confirmation lundi ou mardi. Sur Rennes, on trouve tous les tarifs, pas trop élevés en moyenne pour l’hôtellerie. Nous fournirions une liste d’adresses, nous devons pouvoir établir des accords, en passant par l’office de tourisme. » Pour Bruxelles, Gil m’a adressé, le 30 septembre, un devis du site EXPO, dans le Parc du Heysel, situé au nord de la ville, entre les domaines royaux de Laeken et du Stuyvenberg. Les Journées débuteraient à 14h le samedi ; 9 salles multiples seraient disponibles ; nous pourrions rester sur place jusqu’à minuit. De 14h à 16h, travaux ; de 16h à 17h, pause ; de 18h à 20h, travaux ; à 20h, dîner sur place, suivi d’une fête. Le lendemain, séance plénière dans le grand Auditorium, de 10h à 13h. J’ai d’ores et déjà remis un exemplaire de ce devis à Jean-Daniel Matet, candidat à la présidence de l’Ecole, et qui ne semble pas devoir affronter d’adversaires parmi les candidats au Conseil. Il ne s‘agit donc pas de bonnes paroles, ni de « baiser sur le front ». Et si se coltiner tout ça, c’est de la jouissance de maître, le maître moderne ressemble diablement à l’esclave antique.
LETTRES ET MESSAGES
François Marchaison : Les inscrits Je vous prie de trouver ci-joint le nombre d’inscrits à ce jour : 1 123 inscrits au 10/10/2009 [Sur la base de 1 800 places, et compte tenu des trente places réservées pour les invités et la presse, il reste donc 647 places disponibles.]
Catherine Lacaze-Paule : Nina et Abel Si Abel aime les femmes, qu’il vienne tout de même aux Journées. Il devrait y rencontrer Nina Vézez des Silves. Ça ferait un beau couple. A moins qu’ils ne fassent déjà qu’un ? Sinon, il peut aussi rester chez lui avec les « Ecrits » sur les genoux, et un œil sur le feuilleton « Gossip Girl ». Il ne perdra rien en lisant l’after des JJ. CLP – C Elle (C pas moi) Paix [Vous faîtes fausse route, Catherine. Je ne suis pas Abel. Abel existe, c’est un collègue, membre de l’ECF. A l’instar de Lacan, je ne dis pas toute la vérité, mais je la dis toujours – du moins, j’essaye.]
Ana Lucia Lutterbach Holck : Le vrai nom J’ai deviné le vrai nom de M. Abel, c’est Caïn. [Comme dit le poète, l’œil d’Ana Lucia dansait la samba en regardant Abel.]
Joëlle Joffe : Evaluation Abel a la même ironie que Jam. Il dit en peu de mots le plaisir et l’agacement affectueux que déclenche à son gré l’excellent rédacteur des Séminaires de Lacan, enseignant de psychanalyse, directeur des Journées ECF 2009. Le pastout, le déchet, l’objet a, se plaignent de l’absence d’un humoriste lacanien pour ordonner ces signifiants, et sont assez satisfaits des écrits de Jam, Abel, et quelques autres. Comment Abel peut-il choisir les 108 « agneaux sans tâche » qui vont faire plaisir à Dieu, spécialement à ce Dieu pluralisé d’analystes? En ces temps d’évaluation, j’ai passé 28 minutes à compter, à quelques erreurs près non vérifiées, et avec un X2 non valable sur l’échantillonnage : – les interventions des JJ n° 26 à 36 : 26 prénoms masculins et 30 féminins ; les prénoms « douteux » ont subi un classement aléatoire. -les propositions d’exposés adressés ne respectent pas le sex-ratio – 86 hommes et 142 femmes – mais peut-être la structure psychique ? A vérifier avec le texte en main. Le « manque » est du côté de l’homme. Alors, discrimination positive ? – les candidatures au Conseil sont inégales : 11 hommes et 6 femmes. – une originalité concerne les candidatures aux Cartels de la Passe, où un « couple » se présente en un seul acte, couple remarquable, fidèle, et inscrit dans la modernité, puisque les deux prénoms sont masculins sans discussion. Un classement plus intéressant aurait pu concerner les pratiquants ou sympathisants de foot, natation ou saut en hauteur, les amateurs d’opéra ou de peinture, les fumeurs de cigare, les gourmand(e)s… Dans un groupe, les hystériques « fades » sont moins épuisantes que les déchaînées, l’obsessionnel « logé » est moins « meublant » aussi. Leur intérêt est à juger au un par un. Le directeur des Journées est Un-tout-seul bien entouré, et l’Ecole lui fait confiance. [Tout indique que, dans la psychanalyse, comme praticien, l’homme, le mâle, est désormais une espèce menacée, en voie de disparition, une espèce à protéger ; le sexe fort est le sexe faible. La lamentation d’Abel, évidemment surjouée, exprime ce fait sous une forme à la fois malicieuse et pathétique.]
Philippe Lacadée : Un rêve Je tenais à vous faire part d’un rêve. J’ai rêvé cette nuit que j’étais condamné à la peine de mort par un tribunal où se trouvait quelques éléments éminents, et forts sympathiques d’ailleurs, de notre Ecole, ce qui accentuait en corps plus mon désarroi. C’était terrible car la sentence devait être exécutée très rapidement ce qui m’a réveillé brutalement à 4h 3O , l’heure indicible disait le poète Rimbaud, et à laquelle tout comme moi d’ailleurs il se réveillait. De quoi étais je coupable? De ne pas être sur la liste des 228, et en quelque sorte de ne pas avoir dit oui à ce beau mouvement « d’amour » notre Ecole que vous avez su créer, et ainsi d’avoir consenti à une certaine mort plus douce et naturelle. J’étais de fait surtout coupable de retirer une jouissance quasi autiste de ne pas être sur la liste, et de rester ainsi sur la marge, à contempler le spectacle et à faire ainsi le malin dans cette majorité silencieuse. PS : C’est drôle parce que le titre de mon intervention aurait été : « Le cadavre vivant et les soeurs réparatrices. » Mon rêve a donc délogé le vivant du cadavre. [Ce rêve sonne faux. Je ne crois pas que ce soit un rêve. Je crois que c’est une allégorie de votre cru. Il y a beaucoup de listes, il n’y a pas de liste noire. Vous êtes sur la liste des collègues à pressentir comme président de séance.]
Nathalie Charraud : Des chiffres, des lettres et des bûches Ceci n’est pas un texte de candidature ! Un retrait de retrait équivaut-il à une candidature ? Pas tout à fait, c’est pourquoi je vous envoie ces quelques lignes d’explication. Mon premier retrait était du au fait que je m’inclinais d’une certaine façon devant les textes qui expliquaient très bien pourquoi on était candidat, ce qu’on avait déjà fait pour l’Ecole, et tout ce dont elle avait encore besoin. Je souscris à toutes ces propositions, et il me semblait que je n’avais rien à ajouter. Voilà pour le côté « lettres ». Côté « chiffres », s’y amalgamait une erreur de ma part sur le nombre de places à pourvoir, qui concluait que je n’aurai aucune chance. Le retrait du retrait correspond à une prise en compte de mon erreur. Pendant mes études de maths, la combinatoire était ma bête noire : permutation, arrangement, combinaison, avec leurs formules distinctes qu’il fallait appliquer à bon escient ! JAM nous demande, aux matheux ou ex-matheuse comme moi, de venir à sa rescousse pour les probabilités liées à la répartition des participants dans les salles ! Ah ! la topologie, les coupures de Dedekind, l’algèbre et la logique à la rigueur, mais pas de proba, rapport des cas favorables sur le nombre de cas possibles ! Je m’embrouille déjà sur le nombre de personnes qui doivent être renouvelées au Conseil… Un rêve de la nuit dernière vient à mon secours. Je dois apporter du bois dans un appartement. Un collègue m’accompagne en voiture avec mon bois. Mais arrivés devant l’immeuble, il y a déjà du bois devant la porte, et je me dis que ce n’est pas la peine que je monte le mien, surtout que je ne sais comment le porter ! En fait, j’ai un sac en plastique, le collègue me dit : « Tu peux mettre les bûches dedans ».Devant mon hésitation, il ajoute : « Mais peut-être que tu réservais ce sac pour autre chose ». Exactement ! ce sac était destiné à contenir autre chose, dans le rêve je sais très bien quoi (mais plus maintenant). Ce rêve paraît transparent par rapport à ma candidature à double détente pour le Conseil de l’Ecole. Mais le sac vide, pur contenant, à garder précieusement comme sac vide alors que c’est un simple sac en plastique, me renvoie à un certain vide à préserver certes, comme le souhaite peut-être Abel, mais aussi à l’ensemble vide, qui peut contenir potentiellement le meilleur comme le pire, et j’aimerais entrer au Conseil pour participer aux idées nouvelles qui semblent s’ébaucher de toutes parts, et au choix de celles qui sont à réaliser, à mettre dans le sac ! [Ce rêve sonne juste. Je suis déçu que vous soyez si nulle en proba. Joachim, Luc, vous êtes nuls aussi ?]
Rômulo Ferreira da Silva : Invitation à Jacques-Alain Miller En l’an 2010, l’EBP célébrera son 15ème anniversaire. Ce n’est plus l’Bébé. Depuis sa fondation en 1995, nous avons travaillé pour construire une École d’Analystes. Nous avons actuellement dans toute Section/Délegation de l’EBP des séminaires de lecture de votre cours, « L’orientation lacanienne ». Nous comptons avec un dispositif de la Passe ayant nommé des AE brésiliens. Nous avons déjà une liste d’AME pour soutenir la transmission de la psychanalyse dans l’École; Nous pouvons mettre au travail tout une communauté liée à l’École autour de la prochaine Rencontre Brésilienne. Le thème de la XVIIIe Rencontre : « Le symptôme dans la clinique du délire généralisé ». En tant que Directeur de l’EBP, et Président de la Rencontre, je voudrais bien vous inviter à participer, avec le Président de l’AMP, à l’occasion de notre Rencontre. Le Conseil appuie vivement cette invitation. Je sais qu’au Congrès de l’AMP en avril 2010, il y aura un nouveau horizon pour l’AMP. Ce serait la bonne opportunité de relancer au travail tout la communauté de l’École Brésilienne de Psychanalyse. Je vous remercie de répondre le plus vite possible, car le travail d’organisation est en marche à toute vapeur. [Je vous remercie des bonnes nouvelles que vous m’apportez de l’EBP. Je suis honoré de l’attention que ses membres portent à mon cours. Je regrette de devoir décliner votre aimable invitation. Il me reste quatre (4) Séminaires de Lacan à établir, et j’en aurai fini. Je consacre à cette tâche tout mon temps de vacances. Ceci devrait être achevé fin 2011. Alors, je reprendrai mes voyages.]
Relevé des décisions prises par le directeur des Journées le samedi 10 octobre 2009 De 14h 15 à 19h 15, deux réunions d’organisation, convoquées par le directeur des Journées, se sont succédées dans le local de l’Ecole, rue Huysmans. La première réunissait autour du directeur l’équipe dite technique, désignée par le Directoire pour assurer l’organisation in situ au Palais des Congrès : Marina Lusa, coordination ; Laura Sokolowsky, équipes d’accueil ; Yasmina Picquart, salles et bureaux ; Nathalie Jaudel, rédaction et idées ; Anne Ganivet, librairie. Plus les membres du Directoire : F. Hugo Freda, président ; Francesca Biagi-Chai, Secrétaire ; Dominique Miller, trésorière. La seconde réunion – les 3 membres du Directoire, plus Pierre Naveau, vice-président, et J.-A. Miller, directeur des Journées – traitaient des travaux reçus et du programme. De nombreuses décisions ont été prises après délibération. Composition des équipes d’accueil : les collègues, membres et non membres de l’Ecole, qu’ils soient de Paris, des régions, ou de Belgique francophone, qui sont disponibles pour intégrer les équipes d’accueil, le feront savoir par mail à [email protected] En tout état de cause, il leur sera demandé d’être présents à une réunion qui se tiendra rue Huysmans le vendredi 6 novembre, de 21h 30 à 23h00, avec le Groupe des Sept (ex-équipe technique, plus Francesca et Dominique), et de se rendre le lendemain matin au Palais des Congrès dès l’ouverture des portes, à 7h 45. Envoi des cartes d’entrée : toutes les personnes inscrites avant samedi prochain se verront adresser par voie postale, sous la responsabilité de Francesca : une carte d’entrée, nominative et numérotée ; le programme ; une invitation à prendre contact par mail avec Delcourt pour lui faire connaître leurs préférences en matière de salles (9 options le matin ; 9 l’après-midi). Tout inscrit n’ayant pas fait connaître ses préférences sera affecté d’office à l’amphi Bordeaux. Accueil des inscrits et obtention des badges d’entrée : l’accueil des Journées se fera la veille, le vendredi 6 novembre, rue Huysmans, entre 18h et 23h. Tous les inscrits présents à Paris la veille des Journées sont invités à y passer. Sur présentation de leur carte d’entrée, ils se verront remettre les badges d’entrée. Une lecture de textes littéraires, avec intermèdes musicaux, aura lieu à 19h, une autre à 21h (responsable : Marina). Une inscription sur place sera possible, dans la limite des places disponibles. Un cadeau exclusif sera remis aux inscrits présents, et ils participeront à la tombola finale des Journées, dotée de nombreux prix (responsable : Anne). Accueil supplémentaire : pour les retardataires, un accueil sera organisé le samedi au Palais des Congrès, troisième étage, de 8h 15 à 8h 45 (responsables : Laura, Marina, Nathalie) ; ni cadeau, ni tombola. Horaires du samedi : à 8h 55, les présents seront invités à rejoindre les salles, sur un air de Nino Rota (responsable : Anne). Matin : de 9h à 10h : séquence de travail n°1 ; de 10h à 10h 30 : pause-café sur place ; de 10h 30 à 11h 30 : séquence 2 ; de 11h 30 à 12h : seconde pause ; de 12h à 13h : séquence 3. Déjeuner : frugal, et sur place. Reprise des travaux à 14h 30. Après-midi : de 14h 30 à 16h 30 : séquences 4 et 5 ; de 16h à 17h : pause-café ; de 17h à 18h : séquence 6. 18h : fin des travaux du samedi. La librairie, baptisée « Librairie Freud », reste ouverte jusqu’à 19h. Restauration du samedi : ouverture de 2 bars dit « cash » (on règle ses consommations) en 2 lieux dits « rond-point » et du bar Arlequin, gérés par l’hôtel Concorde-Lafayette ; les bars restent ouverts en permanence toute la journée ; on y obtiendra son déjeuner. Responsable : Dominique ; elle sera assistée d’Anne, avec la collaboration d’Armelle Gaydon. Organisation des salles : chaque séquence d’une heure aura un président ad hoc, qui veillera au bon déroulement des 2 exposés (chacun, 20 mn maximum absolu) et de la discussion (20 mn). Dans chaque salle, et par demi-journée, il y aura deux « anges-gardiens », chargés de veiller à la succession des séquences, et de parer à tout imprévu. Responsable des salles : Yasmina. Responsable des « anges-gardiens » (il en faut 36) : Laura. SOS-imprévus : Jam. Le dimanche : on entre avec le badge du samedi après-midi ; on s’inscrit à la fête du dimanche soir (400 places disponibles ; responsable : Anne), et on reçoit le masque, ou le loup, qu’on devra y porter ; la librairie sera plus petite : livres sur la course automobile, sur les codes secrets, sur l’acrobatie, et œuvres de Freud et de Lacan. Les travaux débutent à 9h 45, par l’Allocution d’ouverture de F. Hugo Freda, président de l’ECF. A 10h, numéro d’acrobate ; 10h 20-11h : exposés de Serge Cottet et d’Eric Laurent, Freud analysant ; Lacan analysant. 11h-11h 30 : séquence en cours de construction ; 11h 30-13h : conférence de Jacques Stern, suivie d’une discussion avec Catherine Lazarus-Matet et J.-A. Miller. De 13h à 15h : déjeuner laissé à l’initiative de chacun. 15h à 16h 30 : entretien avec Alain Prost, questionné par Dominique Miller et J.-A. Miller. De 16h 30 à 17h 30 : projection sur grand écran de « La Première séance », documentaire de Gérard Miller, en présence du réalisateur, qui dira quelques mots. De 17h 30 à 17h 50 : exposé de Leonardo Gorostiza, vice-président de l’AMP, sur le thème des Journées. 17h 50 à 18h : J.-A. Miller annonce le titre des 39e Journées, d’octobre 2010. Communiqué du directeur des Journées. La commission LSD, réunie samedi 10 octobre à Paris, constatant que, de ses 5 membres, Pierre Naveau était le seul à avoir pu déjà prendre connaissance des travaux arrivés entre lundi et jeudi, a décidé de se fier à son jugement pour le premier repérage. Il est ressorti de ses commentaires : que 77 travaux sont à retenir aussitôt ; que 50 sont d’une qualité au-dessus de la moyenne, et 35 légèrement en dessous ; que 52 sont à refondre ; restent 15 travaux en suspens, soit qu’ils n’aient pu encore être lus, ou qu’ils soient apparus obscurs, éclatés, incompréhensibles ; certains ne comptent qu’une ou deux pages. Le directeur des Journées fera connaître ses décisions dans les meilleurs délais. Autre communiqué. J.-A . Miller s’est rendu à 20h 30 samedi au Théâtre Montparnasse, sis 31, rue de la Gaîté , pour y voir la pièce Parole et guérison, où Barbara Schulz joue Sabina Spielrein, la jeune juive russe, patiente et maîtresse de Jung, devenue une psychanalyste distinguée, avant d’être assassinée en 1942 par les nazis au fond d’un ravin, avec ses enfants. En hommage à cette collègue martyre, il a décidé de donner son nom à l’une des salles des Journées. Par ailleurs, Catherine Lazarus-Matet a accepté de faire la critique du spectacle pour le Journal des Journées. Communiqué n°3 : En compagnie d’Anne Ganivet, Marina Lusa, et Dominique Miller, le directeur des Journées se rend ce dimanche matin à 11h au Palais des Congrès, pour y rencontrer Mme Joëlle de Lovinfosse, de la « Direction des opérations » du Palais. Les Journées 38 ont lieu les 7 et 8 novembre prochains à Paris, au Palais des Congrès ECF 1 rue Huysmans paris 6è Tél. + 33 (0) 1 45 49 02 68 S’inscrire sur www.causefreudienne.org diffusé sur ecf-messager, forumpsy, et amp-uqbar
Cher Jacques-Alain Miller, Je vous envoie une petite contribution à l’impressionnante tâche que s’est donné le courageux Christophe Delcourt. Ce petit dispositif, judicieusement placé au moment voulu, pourrait se révéler utile, sait-on jamais. Les connaisseurs auront reconnu sa provenance : Plonck&replonck, http://www.plonkreplonk.ch/ Bien à vous, Gilles Chatenay
Communiqué n° 18 ! Toutes les entrées de secours permettant de court-circuiter Delcourt seront gardées par les meilleurs éléments de la Garde-en-Jupon. La Garde-en-Jupon pleure, mais ne se rend pas ! Signé : Napoléone.