JOURNAL DES JOURNÉES N° 33 le mercredi 7 octobre 2009, édition de 12h 05
LISTE NAVEAU La liste compte 116 noms ; lire en fin de numéro
BREVES
– Inscrits aux Journées : le chiffre de mille (1 000) a été atteint hier à 18h 45 (communiqué par François Marchaison, chargé des inscriptions).
– Graciela Brodsky, présidente de l’AMP 1992-1996 qui demeure à Buenos Aires, m’a informé hier après-midi qu’elle s’était inscrite aux Journées.
– Agnès Aflalo a été nommée hier « chargée de mission internationale » par le président de l’AMP, Eric Laurent.
– Je viens d’accepter de converser sur France 2 avec Barbara Schulz, qui joue Sabina Spielrein au théâtre Montparnasse, pour l’émission « Vous aurez le dernier mot », diffusée en direct le vendredi 16 octobre, vers minuit.
ELECTIONS A L’ECF Les textes de cette rubrique sont publiés dans leur ordre d’arrivée à l’adresse [email protected] Parus : Agnès Aflalo, Francesca Biagi-Chai, Philippe De Georges, Dominique Holvoet, Jean-Daniel Matet, Nathalie Georges, Anne Ganivet-Poumellec, Jean-Pierre Deffieux, Pierre Naveau, Paolo Siqueira Eric Laurent et Jacques-Alain Miller ; à paraître : rien pour l’instant. Ci-dessous, textes de Philippe Benichou, candidat au Conseil. L’heure-limite pour déclarer une candidature au Conseil de l’ECF ou aux Cartels de la passe, est ce soir à minuit, par mail à Francesca Biagi-Chai, [email protected]
Philippe Benichou : « The struggle is not yet over » Il y a quand même un problème avec Jacques-Alain Miller et l’Ecole. Un problème ? Pourtant à chaque fois qu’il pose un acte la concernant, il vise juste. Exemples récents. Les Forums, où il renverse la politique de l’Ecole dans son lien avec les psychothérapies, en invitant des associations qui n’avaient pas vocation à faire cause commune avec l’ECF dans son combat contre l’amendement Accoyer, l’évaluation, et les TCC. L’année dernière, en réorientant l’ECF sur le « devenir analyste » et la psychanalyse pure, alors qu’il avait lui-même lancé les CPCT, et l’élaboration concernant la psychanalyse appliquée. Comment fait-il ? Et cet enthousiasme autour des Journées avec son Journal ! Mais l’enthousiasme n’est pas tout. La psychanalyse d’orientation lacanienne est ce qu’il y a de plus sérieux dans ce monde. Dans son troisième cours de cette année, ce n’est pas l’enthousiasme par lequel Jacques-Alain Miller a qualifié l’affect de l’analyste, mais le « détachement ». Cela mériterait à soi seul un enseignement cette année à l’Ecole. Alors où est le problème ? Mais ce n’est pas possible qu’il n’y ait que lui pour séduire la déesse Raison ! Elle n’est pas si farouche, la dame. Moi aussi, il lui arrive de venir me solliciter, et je pense que le site Internet de l’ECF, dont Hugo Freda m’a confié la réalisation, en témoigne modestement. J’ai des idées pour les enseignements de l’ECF, pour la Bibliothèque, pour le site de l’ECF, qui doit continuer à se développer et s’actualiser plus régulièrement (merci à JAM de m’avoir réveillé, car je m’étais un peu endormi sur mes lauriers), pour que le Conseil de l’ECF communique davantage avec les membres de l’Ecole. Je suis si heureux et fier de faire partie de cette Ecole, et de participer au devoir de faire exister la psychanalyse au 21ème siècle. « The struggle is not yet over », comme disait qui vous savez. On peut l’entendre ici http://www.youtube.com/watch?v=_sm5YFnEPBE. En l’écrivant, je me rends compte que c’est aussi vrai pour mon analyse… Jacques-Alain Miller est taquin. Le voilà qui se met à parler d’un problème de colonne vertébrale dans l’ECF… Je souhaite faire partie de cette colonne, et de traiter ce problème avec mes collègues, par des actions éclairées. J’aimerais apporter au Conseil l’efficacité que ceux qui ont travaillé avec moi me reconnaissent.
HAJJ A VIENNE par Sonia Chiriaco Retour de Vienne. Seulement trois jours d’absence, et je découvre lundi, tard tans la soirée, six nouveaux numéros du « Journal des Journées ». Quelle abondance ! Quelle prolixité ! Je lis en diagonale les messages, les réponses aux messages, les dialogues sur les salles, sur l’ère Meiji, sur « la grâce du transfert », ou encore sur une question toujours actuelle, et freudienne : « Qu’est-ce qu’une femme ? ». Tout cela m’amuse, mais me donne aussi un peu le tournis. Cette exubérance, cette communication joyeuse, vient certainement pour cacher quelque chose, c’est-à-dire pour le montrer, bien sûr, comme nous l’a appris Freud. C’est la solitude de chacun, irrémédiable, qui apparaît là. Celle qu’il découvrit dans son autoanalyse, et que radicalisa Lacan avec sa formule : « Il n’y a pas de rapport sexuel ». Émotion devant le 19 de la Berggasse : Freud y inventa la psychanalyse, et le monde en fut bouleversé. On sonne, la porte s’ouvre. Cet escalier que l’on empreinte, Dora l’a monté, elle s’est sûrement appuyée à cette rampe, et avant elle Emma, puis la belle bouchère et la jeune homosexuelle. L’homme aux rats a dû hésiter avant de franchir le pas, et le petit Hans, sa main dans celle de son père, a grimpé ces marches. Tous ont frappé à cette porte. L’endroit est calme. Aussitôt entré, on y découvre des pièces presque vides. C’est saisissant. L’espace d’un instant, on aimerait que le bureau, le divan, les statuettes, et tous les objets de Freud, soient là ; qu’ils ne soient pas restés à Londres, où il vécut moins de deux années. Mais l’instant d’après, l’on se dit que c’est très bien comme ça : car ce vide est la marque de l’exil, la trace de l’horreur qui a obligé Freud à partir. Ce vide, c’est l’impossible à dire. Et c’est encore lui qui nous a appris à le lire ainsi. Nous lui devons évidemment la préparation de ces journées, lesquelles nous incitent à nous demander « comment on devient analyste ». En tout cas, pas sans Freud, à qui nous devons d’abord notre inconscient.
ALAIN PROST Des questions pour un champion par Jean-Louis Woerlé
Risque. Vous avez pratiqué un métier à risques. A votre époque, contrairement à nos jours, des pilotes décédaient en courses ou lors des essais. Qu’est ce qui vous a poussé à risquer votre vie, alors que vous avez vécu dans « un bain » de morts : votre mère était arménienne, et elle avait subi de plein fouet le génocide arménien, puisque son père, ses frères et soeurs ont été abattus devant elle. Plus tard, mais vous courriez déjà, votre frère aîné est décédé d’un cancer. Mépris. Vous avez souvent été méprisé : – par votre grand rival Ayrton Senna, en particulier lors d’une course sous la pluie, où il s’est moqué de vous d’une façon humiliante; – Ayrton Senna n’a pas hésité à provoquer volontairement un accident lors du grand prix du Japon 1990 pour vous empêcher de devenir à nouveau champion du monde et ce n’est que quelques années plus tard qu’il a reconnu les faits; – par Frank Williams qui n’écoutait guère ses pilotes et faisaient davantage confiance à ses ingénieurs alors que vous avez été et que vous êtes encore considéré comme la référence en ce qui concerne la mise au point d’une voiture; – par Ron Dennis, team-manager de l’écurie Mac Laren qui avait l’habitude d’adjoindre au champion du monde un « jeune » prometteur. On sait ce qu’il en est advenu de votre rivalité avec Ayrton Senna qui n’hésitait pas à copier vos propres réglages et plus récemment Ron Dennis a exarcébé la rivalité entre Alonso et Hamilton. Comment avez-vous abordé ce mépris, cette humiliation ? Comment considérez-vous les relations entre pilotes ? Pourtant après le décès d’Ayrton Senna, vous avez semblé être le pilote le plus affecté alors que vous ne courriez plus en formule 1. Ne supportait-il pas qu’on vous surnomme « le professeur » ? Que diriez-vous actuellement de cette rivalité ? Qu’étiez-vous pour lui ? Pluie. Curieusement la pluie a scandé à plusieurs reprises votre carrière : – lors du grand prix où Senna s’est moqué de vous; – vous perdez un titre de champion du monde en 1984 d’un demi-point du fait de l’arrêt prématuré du grand prix de Monaco en raison de la pluie; – en 1989 vous refusez de courir le grand prix d’Australie qui a lieu sous une pluie battante alors que vous risquez de perdre sur cette dernière course le titre de champon du monde. Personne n’avait encore osé faire cela avant vous. Pouvez-vous expliquer votre geste ? Corps. Vos voitures ont toujours été règlées « aux petits oignons ». Vous étiez capable de courrir avec une régularité de métronome. Le tout était sans à-coups, comme un ballet parfaitement réglé dont vous auriez été le chorégraphe et le danseur-étoile. Ce n’était sans doute pas aussi spectaculaire que certains : pas de longues glissades, d’accélérations brutales, de « semelle de plomb ». Avec vous, la voiture était littéralement collée au sol, suivait la trajectoire parfaite, et tout cela avec une redoutable efficacité. Vous faisiez penser à ces hommes et femmes de cheval qui font corps avec leur bête : on parle alors de couple cavalier-cheval. Considérez-vous que vous faisiez couple avec votre voiture ? Voyez-vous une analogie entre ces deux sports ? Les cavaliers parlent à leurs montures. Ma question peut paraître saugrenue : les pilotes parlent-ils à leur voiture ? On sait qu’ils commentent leurs impressions des essais aux ingénieurs. Comment cela se passait pour vous ? Dernier. N’avez-vous pas l’impression d’avoir été le dernier pilote de ce qui était un sport, alors que la formule 1 basculait déjà dans le show-bizz ? N’étiez-vous pas un peu « décalé » : pas d’affaires de coeur dans la presse people, intimité de la famille préservée ? Artiste. Considérez-vous qu’on n’a pas assez estimé l’immense travail de l’artiste que vous étiez au volant ?
LETTRES ET MESSAGES Jean-Pierre Rouillon : L’idée de la passe J’ai posé ma candidature aux Cartels de la passe dans la seule ambition de servir l’Ecole, et de la servir au lieu qui en le fondement, la procédure de la passe. Le cours de Jacques-Alain Miller, depuis plusieurs années, reprend cette question de la passe et de la procédure, et a modifié en profondeur l’idée que nous pouvons nous faire de ce moment, ainsi que du passage de l’analysant à l’analyste. Je souhaitais donc participer à ce travail d’élaboration en cours, qui change la psychanalyse. Aussi j’accueille avec joie les candidatures de Jacques-Alain Miller et d’Eric Laurent aux Cartels de la passe. Souscrivant entièrement à leur programme, je retire ma candidature.
Adele Succetti : Le piropo en Italie Malheureusement, il n’y a pas en italien un mot aussi joli que celui de piropo. On pourrait le traduire par le mot « complimento » (de l’espagnol « cumplimiento », qui vient du verbe « cumplir », accomplir ses devoirs envers quelqu’un), même si ce dernier, selon le vocabulaire Treccani, est un acte ou une expression de révérence, de déférence souvent seulement extérieur, parfois même insincère. Ou bien, on pourrait le traduire par le mot, un peu vieux style, de « galanteria » (du français » galant », part. prés. de l’ancien verbe « galer », s’amuser) qui indique une gentillesse affichée et de cérémonie envers les femmes ou bien un acte ou un mot galant. Dans les deux mots, en tout cas, on retrouve le coté « cérémonie, semblant », qui n’existe pas dans le « sifflement admiratif » que les hommes italiens émettent, eux aussi, surtout dans le sud, à la vue d’une belle femme.
Marie-Noëlle Faucher : Un scoop 5h du matin, réveillée, je pense au Journal des Journées, où je découvre les échanges avec temps de plaisir. C’est un « plus-de-vie » ! Je vais me lever et écrire. Je n’ai pas osé me mêler de l’histoire de Papa-Dieu et maman-Marie, même si j’ai fait une petite enquête auprès de personnes proches des instances catholiques de ma ville. Je vous le livre après coup. Bref, je n’ai pas appris grand’chose de nouveau, ce sont de petits groupes semblant fonctionner autour d’une personne qui ferait justement le papa-gourou. Enfin, dans mon enfance, parmi les Ursulines de Jésus, il y avait quelques religieuses qui nous berçaient avec le signifiant de maman-Marie. Et puis à La Rochelle aujourd’hui, il y a toujours la mer, le vieux port, et ses bateaux qui dansent, mais aussi un Séminaire sur « La Famille et ses embrouilles », et le plaisir d’aller écouter : Francesca Biagi-Chai, Anne Ganivet, Nathalie Georges, Laure Naveau, Hervé Castanet, Jean-Pierre Deffieux et Alain Merlet ! C’est un scoop Faites avec ce mail comme il vous plaira.
Luc Garcia : Twitter [Répondant à mon appel, Luc Garcia m’adresse une longue lettre sur la mise en marche de Twitter, qui ne m’aide pas vraiment. Dominique Holvoet m’informe du fait qu’il se met à Twitter. L’idée, lancée par Luc Garcia dans le JJ, est d’échanger durant les Journées par Twitter (comme les Iraniens pendant les manifestations anti-Ahminadejab). Dès que j’aurai une minute, je vais reprendre la question en retournant sur Twitter.— JAM]
Christophe Delcourt : Réserver sa place par Internet Voici un lien vers une vidéo qui nous introduit au propos et au style de Jacques Stern. Elle concerne la machine Enigma, et la manière dont les mathématiciens britanniques ont cassé le chiffre des Allemands. http://www.neopodia.com/content/39-45-la-bataille-du-chiffre Pour les salles : je serais favorable à la reprise du système de Barcelone : on réserve sa place. Par Internet, c’est facile, avec Excel (je veux bien aider). Une couleur par salle, des badges de couleur, les mêmes pour les deux jours… J’y vois plusieurs avantages :
- celui qui voit son choix satisfait est très content ;
- celui qui s’en remet au hasard l’est tout autant ;
- cela favorise la surprise ;
- Et les rencontres : « Mademoiselle, voulez-vous échanger votre rouge contre mon bleu ? » Et hop, un expresso !
Bravo pour cet exercice de haute Ecole ! [Cher Delcourt, ça, je n’y avais pas pensé ! On a fait ça à PIPOL ? Première nouvelle. Que je comprenne bien : une fois le programme établi, on peut choisir une des salles multiples, et y retenir sa place pour la journée de samedi, en vous adressant un ? Et sur vos indications, un badge est établi, de la couleur assignée à la salle en question ? C’est bien ça ? Si oui, il faut : 1) établir un calendrier de ces opérations : quand pourriez-vous être opérationnel ? combien de temps nous faut-ilpour établir le programme ? et pour confectionner les badges ? 2) mon idée était d’avoir, comme dans tout colloque scientifique ou comme associatif, ou commercial, qui se respecte, des badges nominaux ; mais cela empêcherait les aimables échanges que vous envisagez. Alors, qu’est-ce qu’on fait, à votre avis ? — JAM ]
INFORMATIONS ET COMMUNIQUES
Eric Laurent : Editorial de La Vanguardia de Valencia, n°4 Samedi 3 octobre, séminaire AMP-Europe à Milan. Trois séquences, une théorique, une clinique, une conversation pragmatique sur l’Ecole et ses difficultés. Très bonne atmosphère de travail, et nous avons déplacé quelques obstacles qui contribuaient à l’humeur dépressive de la SLP. Son Président, Marco Focchi, a écrit hier un compte rendu de ce séminaire. Je l’en remercie, et le publie dans ce numéro de la VV. Les solitudes ont pu converser. Nous y arriverons à Valencia. Pour ce numéro, une proposition d’intervention, celle de Cristina Califano « Soy una buena trabadoja ». Elle nous parle du vomissement salutaire d’un sujet dans son cabinet de consultation. La Psychanalyse est aussi faite de choses comme ça. A cette proposition, s’en ajoute une autre, celle de Carmen Carceller. Son commentaire précis touche un point peu commenté jusqu’ici sur le lien entre solitude et écriture. Je l’inclue sur la liste. On verra ensuite ce qui se passera le 25 octobre. Rosa Godinez, qui est déjà sur la liste des projets nous envoie une définition de la solitude de l’analyste. Elle procède par la voie de la théologie négative : « no es del orden de un ideal, ni de un estatus, ni algo que responda a un aislamiento o a un estado autistico.. » Carmen Carceller cherche à savoir pourquoi Lacan déclare que la solitude est ce qui, par excellence, s’écrit, car « ruptura del ser que deja huella ». Elle nous donne ensuite un exemple de la façon dont s’écrit la solitude poétique. C’est ‘cursillito’ nous prévient Carmen, mais ça lui parle. L’écriture dont parle Lacan est plutôt celle de la logique mais nous ne boudons pas notre plaisir. Concha Lechon rajoute à nos paradigmes l’exemple de Juan de la Cruz qui parle de la ‘solitude sonore’. Entre le silence de l’écriture et la solitude sonore du rapport à l’Autre, nous trouvons donc de tout pour réfléchir. Ricardo Rubio oppose la solitude du psychanalyste à l’œil du Chaman. Etonnant, mais bien vu ! Nous avons maintenant 15 propositions d’intervention acceptées, et nous en aurons davantage vendredi. Le 6 octobre, 19 heures 15
Journée de l’Envers de Paris L’Envers de Paris annonce son après-midi du 14 novembre, qui conclura le travail de l’actuelle équipe de direction. Thème : « Les va-et-vient de la pulsion de mort : l’insistance du réel ». Ecole de Communication Visuelle , 1, rue du Dahomey 75011 PARIS Participation aux frais : 10 € .Tarif réduit : 5 € Inscriptions sur place. Ci-après, le programme. Ouverture : Rose-Paule Vinciguerra. Première table:Vincent Lucas, «Wolfson sans voix» ; René Fiori, « Au bord de la falaise » Moderateur : Francesca Biaigi-Chai. Seconde :Annie Dray-Stauffer « Pulsion de mort, amour et jouissance » ; Carole Hermann, «La chair et le signifiant » :Moderateurs : Catherine Meut & Georges Haberberg Troisième : Dominique Charpenel, « Pulsion de mort et écriture de la jouissance dans l’oeuvre de Niki de Saint-Phalle » ; Karim Bordeaux « Pulsion de mort, destin et reste ». Modérateur :Marie-H Brousse. Conclusion : François Leguil. Final musical : Emma Milan.
OUKAZE Le choix des exposés, leur distribution en salles, et la confection du programme, seront assurée par le directeur des Journées de Novembre, J.-A. Miller, avec les membres du Directoire de l’Ecole : Hugo Freda, président; Francesca Biagi-Chai, Pierre Naveau, et Dominique Miller. 1- La dead line pour intervenir aux Journées est fixée au jeudi 8 octobre à minuit. Vous pourrez toujours perfectionner vos énoncés jusqu’à la veille des Journées (non les allonger indûment). Envoyez de préférence votre texte entre le lundi 5 octobre et le jeudi 8 à minuit, envoyez d’emblée une copie au point, et non pas deux ou trois corrigeant des erreurs, c’est à rendre fou. 2- Le texte de l’exposé proposé sera envoyé par mail exclusivement. Pas de papelard. 3- Le mail devra comporter comme objet, en majuscules : NOVEMBRE. 4- L’envoi se fera aux deux adresses suivantes (pas l’une ou l’autre, les deux ensemble) : J.-A. Miller, [email protected] ; Pierre Naveau, [email protected] 5- Le texte est à taper en caractères Times New Roman, corps 12, avec double interligne; en haut, centré, votre nom, et, sur la ligne du dessous, le titre. 6- Il sera envoyé comme document Word 2004, de format spécial RTF. Sur l’item électronique porteur du texte, c’est à dire l’icône du document telle qu’elle apparaît à l’écran quand le texte est fermé, mettez comme étiquette votre nom propre – et non pas le titre des Journées, ou le titre. Si vous voulez bien respecter ce standard, cela facilitera beaucoup le classement rapide du matériel, et l’expédition au président de séance qui vous sera affecté, et qui devra aussi lancer la discussion. Précision : on peut être à la fois intervenant et président de séance (pas en même temps, pour sûr). 7- Rappelez-vous : l’exposé doit être lu en un quart d’heure (tolérance jusqu’à 20 minutes, mais pas une de plus). Donc, centrez votre propos, réduisez ou omettez les citations des auteurs. Ceci n’est pas une encyclopédie, ni un centon, c’est une flèche.
Liste des travaux reçus pour les Journées établie par Pierre Naveau ce jour à minuit et demi 1. Agnès Giraudel 2. Ahmed Degachi 3. Alain Le Bouëtté 4. Alain Gentes 5. Alain Revel 6. Anita Gueydan 7. Annaëlle Lebovits 8. Anne Béraud 9. Anne Ganivet-Poumellec 10. Anne-Marie Landivaux 11. Annick Delaleu 12. Annie Dray-Stauffer 13. Antoni Vicens 14. Armelle Guivarch 15. Béatrice Brault 16. Béatrice Fabre 17. Bernard Seynhaeve 18. Brigitte Roulois 19. Bruno Miani 20. Camilo Ramirez 21. Caroline Doucet 22. Catherine Bonningue 23. Catherine Lacaze-Paule 24. Catherine Raynaud 25. Céline Menghi 26. Chantal Guibert 27. Charles-Henri Crochet 28. Christine Le Boulengé 29. Clotide Leguil 30. Dalila Arpin 31. Damien Guyonnet 32. Daniel Pasqualin 33. Daniel Roy 34. Didier Guenardeau 35. Dominique Chauvin 36. Dominique Haarscher 37. Dominique Heiselbec 38. Dominique Laurent 39. Elisabeth Gurniki 40. Elisabeth Marion 41. Elsa Ebenstein 42. Emmanuelle Borgnis-desbordes 43. Éric Zuliani 44. Estelle Bialek 45. Ester Cristelli-Maillard 46. Eugenia Varela Navarro 47. Évelyne Meublat 48. Fernando de Amorim 49. Francesca Biagi-Chai 50. Francine Champion 51. Franck Rollier 52. François Ansermet 53. François Bony 54. Françoise Fonteneau 55. Françoise Haccoun 56. Françoise Pilet-Frank 57. François Leguil 58. Geneviève Mordant 59. Gérard Brosseau 60. Gérard Seyeux 61. Gil Caroz 62. Gilles Chatenay 63. Gustavo Freda 64. Inma Guignard-Luz 65. Hélène Bonnaud 66. Hélène Deltombe 67. Hélène Guilbaud 68. Isabelle Rialet-Meneux 69. Jacqueline Dhéret 70. Jacques Ruff 71. Jean-Charles Douchet 72. Jean-Marie Adam 73. Jeanne Joucla 74. Jean-Philippe Parchliniak 75. Jean-Pierre Deffieux 76. Jean-Pierre Rouillon 77. José Rambeau 78. Laetita Jodeau 79. Laura Sokolowsky 80. Laure Naveau 81. Laurence Metz 82. Mariana Alba de Luna Chourreu 83. Maria Sueli Peres 84. Marie-Claude Chauviré-Brosseau 85. Marie Lindenfeld 86. Marie-Noëlle Faucher 87. Massimo Termini 88. Michel Delepouve 89. Michel Galtier 90. Monique Amirault 91. Myriam Mitelman 92. Nathalie Georges-Lambrichs 93. Nathalie Jaudel 94. Nicole Borie 95. Nicole Magallon 96. Ofelia Lopez 97. Ombretta Graciotti 98. Patrick Lambouley 99. Patrick Monribot 100. Patrick Paquier 101. Pauline Prost 102. Paulo Siqueira 103. Philippe Chanjou 104. Philippe Cousty 105. Philippe Hellebois 106. Philippe La Sagna 107. Pierre Streliski 108. Renée Padellec-Nguyen 109. Rodolphe Adam 110. Sonia Chiriaco 111. Sophie Gayard 112. Sylvie Pujol-Dulucq 113. Stella Harrison 114. Suzanne Hommel 115. Véronique Mariage 116. Vincent Moreau
Questions sur l’envoi des travaux: Dominique, [email protected] Problèmes avec l’inscription aux Journées : Francesca, [email protected] Plaintes, protestations, concernant la préparation des Journées : Hugo, [email protected] Mise en vente à la Librairie des Journées : Anne, [email protected] Réception du Journal, liste de distribution : Philippe [email protected] Journal en pdf : Dominique, [email protected] Direction des Journées : JA, [email protected]
Les Journées 38 ont lieu les 7 et 8 novembre prochains à Paris, au Palais des Congrès ECF 1 rue Huysmans paris 6è Tél. + 33 (0) 1 45 49 02 68 S’inscrire sur www.causefreudienne.org diffusé sur ecf-messager et sur forumpsy