Deuxième partie:
Ana Lydia Santiago interroge:
En ce qui concerne l’Autre méchant – celui de la méchanceté divine – nous pouvons le considérer comme un fantasme dans lequel toutes les formes de l’objet a sont, dans une certaine mesure, mobilisées. L’introduction de cet objet dans la conception de l’Autre méchant résout l’énigme de la différence signifiante mais, et le corps? Comment le corps ou, plus précisément, la proximité du corps de l’autre est-elle impliquée? Cette proximité peut-elle être qualifiée comme plus concrète en matière de haine?