Vers les Journées 2008 de l’ECF – N. 13
Le rapport sexuel au XXIème siècle
Soirée préparatoire le mercredi 17 septembre à 21h 15 -
Le rapport sexuel au XXIème siècle
Soirée préparatoire le mercredi 17 septembre à 21h 15 -
Ecole de la Cause freudienne – rue Huysmans
Lors de cette dernière soirée préparatoire, interviendront :
– Daniela Fernandez » Un amour froid «
Une jeune comédienne, consulte au CPCT à cause de sa » fragilité « . Isadora a déjà consulté un analyste qu’elle quitte car » elle n’a jamais supporté qu’il la fasse allonger sur le divan « . Dans notre Centre, au contraire, Isadora évoque » la douceur » du premier analyste de la consultation. Cette patiente livre deux indications que je vais suivre. Lors d’un premier moment, nous situons chez Isadora une identification à la » froideur paternelle « , lorsqu’elle décrit avec fierté son » personnage de femme fatale » qui » consomme des hommes « . Deux interventions de l’analyste introduisent un point tournant, qui marque le deuxième moment du traitement, où Isadora commence à » en avoir marre » des aventures sexuelles qui la font souffrir, et voudrait enfin vivre une histoire d’amour…
– Nadine Page Une intervention opérante
Cette jeune femme débute son analyse avec une question précise : l’opportunité d’une intervention chirurgicale, qu’elle lie à la possibilité, pour elle, de nouer une relation amoureuse. Le décours de la cure permet progressivement de situer la fonction de cette intervention sur le corps.
– Laura Sokolowsky » L’homme de la rue «
Karim s’est adressé au CPCT à cause de ses conduites homosexuelles dangereuses et irrépressibles. La rue était son terrain de chasse. A la première séance, une intervention du consultant portant sur un signifiant du discours de la mère a permis un engagement du patient dans le transfert. La tempérance de la jouissance débridée par le biais d’une rencontre amoureuse est un effet thérapeutique non négligeable de ce traitement bref.
Hervé Castanet, directeur des Journées 2008
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– Daniela Fernandez » Un amour froid «
Une jeune comédienne, consulte au CPCT à cause de sa » fragilité « . Isadora a déjà consulté un analyste qu’elle quitte car » elle n’a jamais supporté qu’il la fasse allonger sur le divan « . Dans notre Centre, au contraire, Isadora évoque » la douceur » du premier analyste de la consultation. Cette patiente livre deux indications que je vais suivre. Lors d’un premier moment, nous situons chez Isadora une identification à la » froideur paternelle « , lorsqu’elle décrit avec fierté son » personnage de femme fatale » qui » consomme des hommes « . Deux interventions de l’analyste introduisent un point tournant, qui marque le deuxième moment du traitement, où Isadora commence à » en avoir marre » des aventures sexuelles qui la font souffrir, et voudrait enfin vivre une histoire d’amour…
– Nadine Page Une intervention opérante
Cette jeune femme débute son analyse avec une question précise : l’opportunité d’une intervention chirurgicale, qu’elle lie à la possibilité, pour elle, de nouer une relation amoureuse. Le décours de la cure permet progressivement de situer la fonction de cette intervention sur le corps.
– Laura Sokolowsky » L’homme de la rue «
Karim s’est adressé au CPCT à cause de ses conduites homosexuelles dangereuses et irrépressibles. La rue était son terrain de chasse. A la première séance, une intervention du consultant portant sur un signifiant du discours de la mère a permis un engagement du patient dans le transfert. La tempérance de la jouissance débridée par le biais d’une rencontre amoureuse est un effet thérapeutique non négligeable de ce traitement bref.
Hervé Castanet, directeur des Journées 2008
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